Gaz du Cameroun augmente de 76% sa production de gaz naturel
Pour le compte du premier trimestre 2021, la demande en gaz naturel de la filiale du groupe britannique Victoria oil &Gas plc, s’est située à 5473 barils bruts de gaz, contre 3109 barils pour le compte du quatrième trimestre 2020. Soit une progression de 2 464 barils de gaz.
La société gaz du Cameroun (GDC), filiale du groupe britannique victoria oil &Gas plc, a récemment rendu publique son rapport d’activités pour le compte du premier trimestre 2021. De ce rapport il en ressort que durant cette période, l’entreprise a produit et vendu 5473 barils bruts de gaz naturel contre 3109 barils pour le compte du quatrième trimestre 2020, une progression de 2464 soit 76% en valeur relative. « Le taux de vente de gaz brut quotidien moyen pour le trimestre de 5,2 Mscf / j (T4 20: 5,1 Mscf / j pied de cube) de gaz naturel plus 5473 barils bruts (T4 20: 3109 barils) de condensat a été produit en toute sécurité et vendu à des clients industriels de la région de Douala. GDC continue de produire et de vendre du gaz naturel en toute sécurité à divers clients de la région de Douala, dont la plupart auraient auparavant brûlé des combustibles liquides », renseigne le communiqué de l’entreprise donc EcoMatin a eu copie.
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Des performances qui satisfont le top management. «Nous sommes très satisfaits des récents progrès réalisés sur un certain nombre de fronts, à la fois du point de vue opérationnel et de l’entreprise, certains d’entre eux ayant fait l’objet d’un rapport séparé au cours des dernières semaines. Nous sommes heureux d’annoncer que la demande de gaz de vente a est resté très robuste, et le prochain client à augmenter la demande organique a déjà commencé la mise en service de son nouvel équipement», déclare le communiqué du Directeur général Roy Kelly de l’entreprise. Pour ce qui est de la demande de gaz «en milieu de semaine a été de 5,5 à 6,0, avec des pics de plus de 6,0 Mscf / j, mais la moyenne trimestrielle est entraînée vers le bas par la lente montée typique au début de janvier après la période des fêtes. Vers le milieu de l’année, nous espérons que deux autres clients existants augmenteront la demande jusqu’à 1,0 Mscf / j», indique le rapport d’activités. En ce qui concerne les travaux sur son bloc d’exploitation de matanda à cheval entre les régions du Littoral et du Sud-Ouest la société relève que «Les travaux se poursuivent sur la conception des puits, le site et la sélection des gréements. Sous la direction du ministère de l’Environnement, la Société a tenu des audiences publiques dans les villages à proximité des emplacements potentiels de puits de surface qui ont été très fréquentés. Au cours de ces réunions, l’étude d’impact environnemental et social était disponible pour être lue et toute autre question soulevée».
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Le rapport souligne par ailleurs que « Les ressources prospectives citées pour ces prospects sont des estimations de la Société, qui font partie de l’estimation précédemment divulguée pour Matanda Onshore de 1 196 Gpi3. Milliards de pieds de cubes par jour ».